Avec l’arrivée d’un enfant , la question se pose très vite : Priorité à la famille ? la Carrière ? les deux ? Définir ses priorités c’est « Accorder une importance préférentielle à quelque chose ou à quelqu'un,. »
Ni tout noir ni tout blanc...comme toujours
Privilégier l’enfant à tout prix quand le travail est vecteur d’épanouissement a de forte chance de mal se passer ou se terminer ! Le parent fera alors ressentir malgré lui la responsabilité de son mal-être sur l’enfant! Et l’enfant n’en sera alors que plus agité…
Rien n’est tout noir ou tout blanc… Définir ses priorités c’est avant tout être clair dans sa tête sur ce qui devra être fait quand une situation particulière se présentera ( réunion tardive, maladie de l’enfant, …). C’est la fameuse zone grise ! Et cela passe par beaucoup d’anticipation pratique et psychologique.
Prioriser n'est pas renoncer !
Avant l’arrivée d’un enfant, , la journée est déjà bien remplie entre le travail et la vie personnelle. Puis un nombre considérable de tâches s’ajoutent… avec pourtant un nombre d’heures qui reste le même. Que faire alors ?
Enlever des tâches ? Mais lesquelles ?
Tout faire ? Mais combien de temps va-t-on tenir ?
Un enfant qui ressent une émotion forte chez le parent aura alors besoin de se rassurer. Stress, fatigue, tristesse, …déclenchent chez lui de nombreuses réactions particulièrement chronophages et énergivores pour le parent : demande d’attention permanente, surexcitation, colères, nuits compliquées, etc…
Une nouvelle organisation
Dans le monde professionnel, prioriser les tâches à faire est une démarche indispensable quand la surcharge de travail fait que l’on ne sait plus par où commencer. L’empilement de taches plus ou moins longues devient source de stress… qui envahi le cerveau et immobilise les neurones .
Lorsqu’il est parent, les inévitables tâches liées à l’enfant s’ajoutent (rendez-vous médicaux, aller chercher le petit à la crèche, prévoir et préparer le repas, les devoirs, etc..) allongeant en parallèle la liste des tâches à faire . Petit plus dont le cerveau se serait bien passé.
Vie professionnelle et vie personnelle se retrouve forcément imbriquées !
Travailler le samedi , le mercredi ou le dimanche ? Faire une journée de 7h ou de 11h ? Prévoir 3 jours de déplacement ? Travailler à la maison ou en télétravail ? Amener du travail à la maison le soir ? Avoir des réunions tardive ?, etc…
Comment s’organiser ? Et …quel impact cette ces choix auront-ils sur le développement de leur enfant et son bienêtre ? Petit à petit la culpabilité s’infiltre dans les décisions.
Après leurs études, les femmes et les hommes vivent de façon similaire leurs début de carrière professionnelle. Tout bascule à l’arrivée d’un enfant ! Dès lors 85% des femmes voient un décalage se creuser, décalage plus ou moins important selon la répartition qu’elles feront entre leur vie personnelle et leur vie professionnelle.
Anticiper pour mieux gérer la vie en famille
La qualité de vie au travail ou le bien être en entreprise.
Au stress organisationnel s’ajoute souvent un stress émotionnel, encore plus pour les couples ayant un enfant après 40 ans où l’organisation était rodée et la carrière en pleine expansion. Certes, on peut s’improviser parent et faire ses expériences, c’est d’ailleurs ce que font beaucoup de parents. Mais beaucoup souffrent aussi de dépression et les burn-outs parentaux sont en explosion…
Heureusement, par le biais de la qualité de vie au travail, la prise de conscience de l’importance de l’impact de la vie personnelle sur la vie professionnelle fait son chemin. Beaucoup d’entreprises proposent déjà depuis longtemps une aide matérielle avec la mise à disposition de places en crèche pour les
salariés. Avec la pandémie certaines vont même plus loin en mettant en place un soutien psychologiques par le biais d’ateliers, de conférences ou de conseils individuels pour accompagner le bien-être et la parentalité.
Des formations parentalité
Si chaque enfant est différent, leur immaturité et ses conséquences sont en revanche communes et connues ! De nombreux pédiatres pédopsychiatres et médecins se sont penchés sur la question depuis longtemps et continuent de nous aider à les comprendre ….
- Pourquoi mon enfant pleure-t-il le soir quand j’arrive ?
- Comment accompagner mon enfant hypersensible
- Comment faire pour que mon enfant joue seul plus longtemps?
- Pourquoi fait-il des colères ? comment y faire face ?
- Que comprend réellement l’enfant ?
- Pourquoi ne se presse-t-il pas quand je lui explique que je suis en retard ?
- Pourquoi se réveille-t-il encore la nuit ?
Autant de questions qui amènent le découragement de nombreux parents , sème le doute sur leurs capacités et impactent leur estime de soi…une pente directe vers le burnout !
Et c’est en cela que les ateliers à la parentalité sont importants :
car c’est en comprenant les réactions de son enfant que le parents pourra les relativiser et se protéger émotionnellement,
c’est en anticipation ses réactions que le parent pourra se libérer du temps ! et éliminer ces sentiments négatifs si destructeur au quotidien.
C’est aussi en connaissant les conséquences de certaines actions sur le développement de son enfant qu’il pourra alors définir ses priorités.
La formation à la parentalité contribue à retrouver l’équilibre vie pro – vie perso et à soutenir la carrière des salariés parents.
Absences, burn-outs , turn-over … Accompagner le bien être des salariés et les aider dans leur vie personnelle peut être un premier pas pour réduire ces problèmes récurrents.
A PROPOS DE COGIVIA:
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Cogivia soutient l'équilibre vie personnelle - vie professionnelle des parents salariés .
Un recul constructif sur l'enfant, ses émotions et son développement psychomoteur.
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